
Le musée du verre de Conches
Son site internet : https://museeduverre.fr/fr
Le musée du verre de Conches présente des collections d’art verrier dans les domaines des arts décoratifs, du vitrail et de la sculpture contemporaine.
Son site internet : https://museeduverre.fr/fr
Le musée du verre de Conches présente des collections d’art verrier dans les domaines des arts décoratifs, du vitrail et de la sculpture contemporaine.
Du 30 septembre 2017 au 8 janvier 2018, le musée de Cluny (Paris 5ème) présente une exposition sur le verre médiéval
http://www.musee-moyenage.fr/activites/expositions/expositions-en-cours-.html
Le verre est, au Moyen Âge, l’objet d’une réelle fascination. L’exposition retrace dix siècles d’un foisonnement créatif méconnu.
S’ils tirent leur inspiration de l’Antiquité ou des productions islamiques, les maîtres verriers développent également des techniques virtuoses, tels les Vénitiens, réputés pour les gobelets émaillés ou les artisans du nord de la France, qui mettent au point les premiers verres à tige
De l’architecture, où le vitrail témoigne de la virtuosité des artisans, aux tables les plus prestigieuses, le verre est un produit de luxe. Au fil des siècles, il se démocratise progressivement sous la forme de vitrages civils ou de gobelets de taverne.
Mais le verre est aussi au service de travaux de précision : urinaux permettant aux médecins de poser des diagnostics, alambics utilisés par les apothicaires, miroirs qui aident à la lecture – tout comme les lunettes, qui font leur apparition à la fin du 13e siècle.
L’exposition “Le Verre, un Moyen Âge inventif” met en regard quelque 150 oeuvres avec enluminures, peintures et gravures, qui nous aident à comprendre les usages du verre tout au long de la période médiévale
Après “La fractale des raviolis” qui a rencontré un franc succès et qu’on trouve facilement sur Amazon et toutes les bonnes librairies, notre cousin Pierre Raufast récidive avec “La variante chilienne”.
Il était une fois un homme qui rangeait ses souvenirs dans des bocaux. Chaque caillou qu’il y dépose correspond à un évènement de sa vie. Margaux et Pascal, un prof et son élève, le rencontrent à l’improviste.
Des liens d’amitié se tissent au fur et à mesure que Florin extrait des bocaux ses petits cailloux. À Margaux, l’adolescente éprise de poésie et à Pascal le philosophe perplexe, l’homme aux cailloux raconte. L’histoire du village noyé de pluie pendant des années. Celle du potier qui voulait retrouver la voix de Clovis dans un vase. Celle de la piscine transformée en potager. Celle de la cueillette aux noix par hélicoptère. Celle des fossoyeurs truands…
Auteur de La fractale des raviolis (Alma, 2014), Pierre Raufast invente à nouveau des récits plus incroyables et crédibles les uns que les autres. À cet exercice jubilatoire, ce deuxième roman ajoute une douce réflexion sur les jeux du souvenir et du hasard.
Présentée dans les galeries Rivoli du musée des Arts Décoratifs, l’exposition réunit un ensemble exceptionnel de plus de 600 pièces de verre issues des réserves de l’institution. À travers un parcours chronologique allant de la Renaissance à nos jours, l’événement retrace les différents savoir-faire et métiers d’art, en révélant une collection riche et variée. Cet ensemble offre un regard étendu sur les styles, les techniques et les goûts propres à chaque époque, tout en rendant hommage aux écoles et foyers créatifs européens, orientaux et américains. La chronologie des douze salles évoque aussi l’histoire de la construction de ce patrimoine au travers des achats et surtout des dons et legs de collectionneurs éclairés. En unissant le beau à l’utile, Trésors de Sable et de Feu, Verre et Cristal aux Arts Décoratifs, XIVe–XXIe siècle est une histoire du verre racontée à travers cette collection, considérée aujourd’hui comme l’une des plus importantes en Europe.
Notre cousin conteur et historien ariégeois signe un nouvel ouvrage en mai 2015 : “Un pet au casque” (aux Editions du Refuge www.editions-refuge.com)
Conter, ce n’est jamais que dire avec lenteur les joyeux brassages de la besace à mémoire. Mais avant de parler, le conteur écoute.
J’aime à me cacher dans les coins de bistrots. Ceux où si vous n’êtes pas du pays, les discussions s’arrêtent et les têtes se tournent quand vous entrez. Les cafés de fond de ruelles, ceux dont l’enseigne se fane et menace de se décrocher sous le poids de la poussière…
J’aime aussi à flâner sur les marchés, ceux où s’entremêlent les couleurs et les parfums, allant des fromages aux origines incertaines jusqu’aux parfums d’orient, ceux où bérets et longues chevelures se croisent et se voient enfin…
J’aime écouter les paroles de hasard glanées au bord des chemins, à la boulangerie, sur un banc ensoleillé ou au coin d’une cheminée quand le vent hurle au dehors…
J’aime ma terre, celle de la montagne, du confit de canard, de la ressegue, des lotos du gras, des fêtes de village, des péluts en yourtes, des châteaux bouffés par les ronces et des mémés qui attendent l’épicier ambulant.
Avec tendresse et un opiniâtre refus de se prendre au sérieux, ces chroniques racontent cette terre et ceux qui en font la saveur.
Notre cousin Pierre Raufast (de Grenier Dallès) publie en 2014 un premier roman qui connaît un beau succès : La fractale des raviolis (rappelons que notre cousin est également ingénieur !).
http://www.alma-editeur.fr/la_fractale_des_raviolis.html
Il était une fois une épouse bien décidée à empoisonner son mari volage avec des raviolis. Mais, alors que s’approche l’instant fatal, un souvenir interrompt le cours de l’action. Une nouvelle intrigue commence aussitôt et il en sera ainsi tout au long de ces récits gigognes. Tout ébaubi de voir tant de pays, on découvre les aventures extraordinaires d’un jeune garçon solitaire qui, parce qu’il voyait les infrarouges, fut recruté par le gouvernement ; les inventions stratégiques d’un gardien de moutons capable de gagner la guerre d’Irak ; les canailleries d’un détrousseur pendant l’épidémie de peste à Marseille en 1720 ou encore la méthode mise au point par un adolescent sociopathe pour exterminer le fléau des rats-taupes.
Véritable pochette surprise, le premier roman de Pierre Raufast ajoute à la géométrie rigoureusement scientifique, la collision jubilatoire du probable et de l’improbable.
Né en 1973 à Marseille, Pierre Raufast a grandi à Martigues. Il a suivi une formation d’ingénieur à l’École des Mines de Nancy. Informaticien, il vit et travaille à Clermont-Ferrand.